Journée internationale des droits des femmes : une parité exemplaire chez Effy

Le 8 mars, nous célébrons la Journée internationale des droits des femmes. A cette occasion, trois collaboratrices Effy ont accepté d’échanger autour de leurs expériences les plus marquantes en matière d’égalité hommes-femmes.

Célébrée le 8 mars, la journée internationale des droits des femmes a pour objectif de sensibiliser et améliorer les droits des femmes. Dans le milieu professionnel, l’égalité hommes-femmes est encore bien fragile. Selon les Nations Unies, en 2019 : 

 

2,7 milliards de femmes n’avaient pas accès aux mêmes postes que les hommes.

Moins de 25% des parlementaires étaient des femmes.

 

 

Qu'en est-il chez Effy ?

 

Parité Effy

Au sein du Groupe Effy, ce sujet est extrêmement important. “La diversité est une conviction portée par la Direction Générale, mais aussi un sujet d’exemplarité. Chez Effy, la parité c’est 50% de femmes dans l’entreprise, y compris dans l’équipe de direction explique Sabine Parisis, DRH. “Nous veillons à l’égalité des chances au sein de nos équipes en valorisant le parcours de tous, et en apportant une attention particulière aux femmes. Il ne s’agit pas seulement d’accompagner un changement, il faut participer activement à l’instauration d’une nouvelle norme”.

 


Sur ce sujet, nous avons fait appel à trois collaboratrices Effy. Elena Sirbu, Commerciale BtoB (ci-dessous à gauche), Angéline Lenain, Directrice générale adjointe du Groupe Effy (au centre), et Soraya Laldji, Formatrice commerciale (à droite), nous ont confié les challenges qu’elles ont dû relever au cours de leur parcours professionnel, et comment elles en ont tiré leur force.

 

Journée internationale des droits des femmes

Quelles sont vos missions chez Effy ?

Soraya Laldji : Je dispense des formations, crée des parcours et des supports, et je manage les formateurs de mon équipe. 

 

Elena Sirbu : Je fais partie de l’équipe chasse et acquisition de nouveaux partenaires. Pour cela, je prospecte et démarche des sociétés qualifiées. 

 

Angélique Lenain : J’ai en charge l’offre, le commerce et les activités de la maison. Mon rôle est de faire en sorte que les équipes que j’anime aient les moyens de faire leur travail dans d’excellentes conditions, et puissent donner le meilleur d’elles-mêmes. 

Parce que vous êtes une femme, avez-vous été confrontée à des difficultés dans votre carrière ? 

Soraya Laldji : J’ai travaillé pendant deux ans dans une multinationale où je formais de futurs formateurs et des directeurs. Suite à la formation, je les évaluais et lorsque que le formé était un homme, on me prenait systématiquement soit pour son assistante, soit pour la junior. Je devais alors détailler mon parcours et justifier mon expérience. A l’époque, ce genre de remarque était banale. J’ai mis du temps à réaliser que c’était déplacé ! Heureusement, j’ai pris en maturité et j’ai désormais plus de recul pour affronter ce genre de situation.

 

Angélique Lenain : J’ai commencé ma carrière dans des milieux où les postes de pouvoir étaient tenus par des hommes. J’ai toujours été confrontée à un sexisme bienveillant. Les personnes avec qui je travaillais m’appréciaient et me protégeaient beaucoup, alors que je n’avais pas forcément besoin d’être protégée plus qu’un autre ! 

Pensez-vous que votre parcours aurait été différent si vous aviez été un homme ?

Soraya Laldji : Je ne sais pas s’il aurait été différent, mais je me poserais certainement beaucoup moins de questions. 

 

Elena Sirbu : Je ne pense pas que cela aurait changé grand chose pour moi. En Moldavie, mon pays d’origine, les valeurs autour du travail sont très fortes. Je m’implique à 100% dans tout ce que je fais. La preuve, j’ai été élue meilleure vendeuse de l’équipe commerciale chasse en 2019 et 2020. Je suis devenue le booster de toute l’équipe !


Angélique Lenain : Mon parcours a été marqué par les changements, à la fois d’entreprise et de métier. J’ai été avocate, investisseur, puis j’ai intégré l’univers du digital… Je ne me serais sûrement pas autorisée ces changements radicaux et cette mise en danger en tant qu’homme car je pense qu’ils sont malheureusement victimes d’une plus forte pression de réussite de la part de la société. Je me suis offert la liberté de saisir les opportunités qui se présentaient à moi et qui m’ont permis d’avoir une carrière plus intéressante.

Selon vous, pourquoi la journée internationale des droits des femmes est importante ?

Soraya Laldji : Dans un monde idéal, on n’aurait pas à la célébrer. Mais si elle peut aider des jeunes filles à développer leur personnalité, les convaincre qu’elles sont capables d’accomplir ce qu’elles veulent et qu’elles prennent conscience de leurs compétences, alors tant mieux.

 

Elena Sirbu : Cette journée permet de se mobiliser pour la défense des droits des femmes, de promouvoir l’égalité des sexes et de mettre en lumière des réalisations remarquables de femmes dans le monde. 

 

Angélique Lenain : C’est un sujet extrêmement important chez Effy et, plus généralement, je trouve que cette journée devrait être celle de la diversité. C’est elle qui est créatrice de richesse en entreprise ! La beauté d’Effy, c’est que cette diversité est présente à tous les niveaux et dans tous les départements. Quand je vois arriver des jeunes femmes dans la maison, j’ai envie de leur tendre la main et leur dire qu’elles vont avoir la place qu’elles souhaitent prendre dans la maison, et qu’elles peuvent tout faire ! 

Effy, c’est aussi tout un réseau de Partenaires Artisanes

Effy est fier de compter parmi ses entreprises Partenaires, plusieurs artisanes. C'est le cas de Vanessa Saulière, directrice générale de l'entreprise A.S.O à Toulouse. Elle nous explique les challenges qu'elle a dû relever pour réussir à faire sa place dans ce milieu.

 

 

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